Tuesday, May 11, 2010

Independance prématuree

Vendredi, 07 Mai 2010, 02:19



Pourquoi jadis et pas maintenant?
Pourquoi avoir cinquante ans
Et être inconscient?
Pourquoi n'avons nous pas eviter tout ce sang?


Pourquoi l'afrique acclame son indépendance?
Pourquoi l'afrique ignore son ignorence?
Pourquoi l'afrique néglige son importance?
Oui pourquoi tu refuses ton ascendance?

Comment t'expliquer ta naiveté?
Comment t'arracher de cette pauvreté?
Comment afrique ! afrique condamné
Comment afrique ! afrique escroqué

Ne vois tu pas que c'est une independance de surface?
Que la france exploite toujours tes graces et tes surfaces
Que tu ne vies que de reste sales et de crasses
Tu resteras toujours à la queue quoi que tu fasses

Et tout ça à cause de quoi !
A cause de cette indépendance de mauvais choix
Qui au lieu de faire de nous des rois
Nous a plutot rendu pauvreS gredins sans foi ni loi!

Amour de jeunesse

Vendredi, 30 Avril 2010, 07:27

Son sourire avait deja séduit
Les coeurs de ce reduit
Il était si beau ce nouveau venu
Qu'elles rêvaient toutes de cet inconnu.

Par sa seule presence
Il faisait briller l'intelligence
Son corps si doux et si robuste
A la piscine elles ne voyaient que son buste.

Il avait vingt trois ans
Cet un bel âge pour vivre l'amour
Ses joies et ses durs moments
Personne ne croyait qu'il souffrirait un jour.

Lucie et ses yeux angeliques
S'est montrée méphistofélique
Apollon était dans son pure réalisme
Et elle, d'un grand diletantisme.

Ces amours procurent de la sagesse
Et pourtant ce sont nos amours de jeunesse !!!

Bonjour Sénégal

Jeudi, 22 Avril 2010, 23:58

O richesse
O sagesse
O senegal nouveau
Salut à toi berceau

Wad et sa clairevoyance
Dakar voit sa renaissance
Cinquante ans d'independance
Dans le bronze trouve sa residence

Aussi haute soit -elle
Sur les belles mamelles
Elle exprime dans ce ciel
Le soleil que defie les sentinelles

Nous sommes nos propres sentinelles n'est ce pas?
Père,mère,enfant, d'afrique
Orientons nos rages vers de vrais combats
Mais surtout pas contre cet emblem poetique!!

Di leur Senghor ke ton fils est sensé
Di leur Diouf qu'il n'a pas gaffé
Que ce symbole reste pour le senegal
Ce que l'afrique sera sur l'echiquier intercontinental.

LA BLANCHE

Vendredi, 16 Avril 2010, 03:28

Mon soleil s'est levé un soir
Dans cette nuit calme et mélodieuse
Sa voix la rendait immensement radieuse
Son charme a laissé ma fierté choir

Depuis le bien heureux karaoké
Nos coeurs ne se sont plus quittés
Nos chants et nos premières embrassades
Furent applaudis par nos vrais camarades

L'amour était donc de retour
Après tant d'échecs
Merci melchizedek
Fini les mauvais tours

Douce et gracieuse
Elle est partie me laissant en mémoire
Qu'elle reste à jamais mon anti-déboire.
Reviens vite ma cherie , ma précieuse!

amours en colère



Mercredi, 14 Avril 2010, 02:15

Combien ils sont fastidieux
Peuplés de regret et d'amertumes
Ces jours disgracieux
Que la chienlit parfume

Famille de moi , famille en moi
Pourquoi êtes vous si loin de moi
Si mes peccadilles suffisent
A faire que tout se fragilise

Que deviendrais-je tout seul
Dans ce périple du pseudo-orphelin
Où le silence devient un coup de gueule
Je n'est plus de fuel pour résister au malin

Je fais la face d'homme
Car j'ai encore cet os de sacrum
Qui me dit ne pleure pas
La vie est un combat

Je n'ai pas su aimer l'une
Peut être parce que j'en aime une autre
Votre amour mal dirigé fit mon infortune
Je comprend sa rage mais je déplore la votre

S'il n'y a plus de sourires sur nos visages
Et que pourtant vous êtes mon sang
Au milieu de nos frères impuissants
Revoilà qui s'installe le mauvais présage.

Tristesse d'un Nègre

Vendredi, 02 Avril 2010, 22:47

Mes pères ont connu la colonisation
Mes frères on connu l'apartheid, l'esclavage
Moi même j'ai été traité de singe ,de sauvage

Rien que pour ma couleur , j'ai été maltraité
Les chaines en leste sont denues mes parûres
Ma souffrance légendaire et mes sales brulûres
Me font crier "indemnités"

Ma couleur est elle une malédiction
Le racisme est mon quotidien
Partout on me siffle comme un chien
Pourtant ils envient mes richesses
Moi le chien, j'ai un truc qui les interressent


Alors ils créent la guerre dans mon afrique
Ils tuent les presidents noirs dynamiques
Ils corrompent les imbéciles noirs arrivistes
Et en attendant la ruine ,les noirs prient le Christ


Mais ce n'est pas un leurre !
Nègres de tous les pays unissez vous!
Seul le christ peut nous offrir cette chaleur
De l'amour vrai, fidèle, sans courroux.

LA FOLIE DE DESCARTES SOIGNEE PAR FREUD

Samedi, 27 Mars 2010, 03:36

Réné Descartes(1596-1650) avait faim de pouvoir
en meme temps qu'il surrestimait "je pense donc je suIs"
il commettait par la meme occasion la bétise de sa vie!
A quoi bon chanter la suppremacie de la conscience humaine
quand on ne peut même pas expliquer ses tics ses rêves
les lapsus et Dieu!!
Ce rationnanalisme totalitaire dont il fait montre dans
"le discourt de la methode(1637)" est d'autant si ubuesque
que le scepticisme de freud nous interresse!
Ya t-il pas au creux du psyshisme humain une force
noire qui est le nec-plu-ultra de l'equilibre de l'homme
et par ricochet le pilier de son fonctionnement.
Pas étonnant que dans métapsychologie ,il écrivit
que : là où "ça" était "je" dois devenir. un peu comme pour
dire que sa mission est de soigner ceux qui sont dans le besoin.
grâce à l'etude poussée du" ça " aujourd'hui on guerri des fous
comme réné!!!

Elle est partie.

Mardi, 23 Mars 2010, 04:37

J'ai horreur d'y aller
De peur d'y rester;
Cet endroit sans coeur
Briseur de bonheur

J'ai eu peur de rencontrer ce regard
Innondé de larmes tueuses de fard.
Ici , pourtant pas à notre droite,
Les visages sont tristes,l'humeur est coite.


Les business-men se disent aurevoir de la main
Les tourtereaux s'embrassent sans fin
Et quand arrive l'heure de s'envoler
Les deux oiseaux ont du mal à se lacher.

Je hais cet purgatoir moderne
Où les couleurs sont tantôt claires tantôt ternes
Où meme chavirent les coeurs les plus torrides
Les âmes les plus intrépides

Vivement que tu reviennes
Que de l'autre coté s'estompe ma haine
Que tout ce qui tirlupinait mon corps
Se transforme en joie à l'aeroport.

Critique semi-détaillée de "Trahison"

Lundi, 22 Mars 2010, 01:10

Un jour fait naitre l'amour
Un enflammé devient sourd ( l'amour nait subitement un soir ou un matin de bonheur)
S'il n'est aveugle par grâce ( ici il s'agit d'une infection des sens! l'amoureux n'entend)
C'est bien son idéal à sa face ( rien de ce qu'on pourrait raconter sur son partenaire)
Et si se taire rejoint ses totems ( il' ne voit qu'une seule personne comme expression de)
C'est juste pour jaccasser je t'aime. ( beauté de perfection. Et quand il parle c'est juste pour
Aimer, c'est souffrir des sens ( dire je t'aime!)



Seul le temps peut nous en faire délivrance. ( avec le temps l'enchentement disparait!)
Chance! L'aimée qui aime vraiment ( l'idéal serait que l'amour soit reciproque,)
Pourtant, et cela bien souvent ( ce n'est souvent pas le cas)
L'aimée interressée et sans coeur ( quelqu'un dans le couple simule l'amour)
Offre un mirage de bonheur. ( et quand on a tout essayé , tout tenté),
Et quand après mille pas ( quand on est passé par toutes les difficultés)
Il n'ya plus de pas ( sans succès,
Entre l'amour et la haine, il n'ya qu'un pas. l'amour devient très vite de la haine!)



Puis l'amour s'éteint un jour ( puis un jour le )
Sans retour, sans recours ( rêve s'achève douloureusement)
Les attachés se détachent ( si durement qu'il est impossible pour
L'enflammé de son ciel fait son crash. l'ex enflammé de dormir de rire!)
Et quand un passé eut été idyllique ( ce passé le tirlupine , l'agace , )
Quel coeur ne serait pas nostalgique? ( difficile de l'oublier!)

Soudain guerrit l'enflammé ( la déception n'est pas éternelle)
Mais un froid regret est entamé ( quand elle prend fin on en retire soit )
Son corps brûle de frustration ( de la libération soit du regret)
Son coeur et son âme d'humiliation ( on se sent parfois sali, humilié,)
Mordu de ces ingrats aiguillons ( trahi on a envie de transformer cette douleur)
Le suicide est parfois la belle solution ( morale en douleur physique d'où l'idée de suicide)

Mais attention Il est là ( parcontre quand de telle douleur nous dechire on)
Il est écrit qu'à la fin il jugera. ( devrait pourtant rapidement songer à Dieu!)

critique semi- détaillée de mon poème (tempête d'afrique)

Mercredi, 17 Mars 2010, 00:32

Berceau de l'humanité (le socle de la première présence humaine et par extrapolation devrait être le socle en principe de l' intelligence)
Nid de la bestialité ( pourtant c'est aujourd'hui le refuge de guerriers sans foi ni loi assoiffés de pouvoir et de sang!! causes indéniables du rétard économique politique et social. )
Fief des sanguinaires
cercle de la galaire

Teint noir charbon, (notre identitité physique et même spirituelle est devenue synonyme de déraison d'échec , de mauvais aloi etc!!! aussi de corruption et de crime!!! )
Es-ce synonyme
De nul et de frippon,
Amour de crime?


Afrique tant chantée jadis (pourtant nos pères ont chanté, célébré l'afrique ; ses aptitudes, ses chances d'etre compétitif un jour ,ses beautés! si aujourd'hui rien ne change au contraire les choses empirent, nos parents négritudiens apparaissent desormais comme des contestataires rçeveurs et surtout mégalomanes)
Par les négritudiens poujadistes
devenus flibustiers de lapalisses
d'une afrique trop triste.

La guerre est devenue ton appanage (la guerre ha la guerre!! pouquoi tant de guerre en afrique !! pourquoi il ne se passe pas un mois sans qu'un pays d'afrique n'utilise des armes contre ses propres fils!!)
Tous les mois
Un de tes fils fais sonner sa rage
Et les canons rigolent à haute voix!

Suis-je un deraciné de le reconnaitre ( quand on est déchiré comme moi par rapport aux agissements des africains, quand parfois on perd la foi en l'afrique qu'on aime! quand on veux s'élever au delà des distinctions pour aller apprendre et copie rsur nos devanciers européens américains et autres, on te traite de déraciné!!! )
Es-ce du pessimisme de ne pas croire
En l'assoiffé qui réfuse de boire
Le filtre d'espoir légué par nos ancêtres!

Tempête D'afrique

Vendredi, 10 Mars 2010, 05:11

Berceau de l'humanité
Nid de la bestialité
Fief des sanguinaires
cercle de la galaire

Teint noir charbon,
Es-ce synonyme
De nul et de frippon,
Amour de crime?


Afrique tant chantée jadis
Par les négritudiens poujadistes
devenus flibustiers de lapalisses
d'une afrique trop triste.

La guerre est devenue ton appanage
Tous les mois
Un de tes fils fais sonner sa rage
Et les canons rigolent à haute voix!

Suis-je un deraciné de le reconnaitre
Es-ce du pessimisme de ne pas croire
En l'assoiffé qui réfuse de boire
Le filtre d'espoir légué par nos ancêtres!

Poésie, Mélodie

Vendredi, 26 Février 2010, 08:23

Je suis envoûté par ta voix
Quand je dors c'est ton image que je vois
Et même te regarder sourire chérie
C'est comme savourer un instant magique.
Quand tu ouvres tes yeux , poésie
Quand tu les refermes, musique
Tout en toi n'est que mélodie
Tout ce que tu mérites n'est que paradis.

Je suis envouté par toi
Et quand je dors c'est ton image que je vois
Tu es ma joie de vivre
Le seul vin dont je m'enivre.

Ceci est l'espression de ma flâmme,
Des choses qui ont franchi la cime de mon âme
Sents cet amour de ton Romeo
Qui se lit sur moi à fleur de peau

Quand tes yeux me carressent ,poésie
Et même quand ils s'abaissent, musique
Tout en toi n'est que mélodie
Tout ce que tu mérite n'est que paradis.

Poésie , Mélodie

Les malheurs de Don Diegue - Pierre Corneil

Mercredi, 24 Février 2010, 12:06

Ô rage ô desespoir ô vieillesse ennemie
N'ai je tant vecu que pour cette infamie
Et ne suis je blanchi dans les travaux guerriers
Que pour voir en un jour flétrir tant de laurriers.
Mon bras qu'avec respect toute l'Espagne admire
Mon bras qui tant de fois à sauvé cet empire
Tant de fois affermi le trône de son roi
Trahi donc ma querrelle et ne fait rien pour moi
Ô cruel souvenir de ma gloire passée
Oeuvre de tant de jour en un jour effacée
Nouvelle dignité fatale a mon bonheur
Precipice élevé d'où tombe mon honneur
Faut il de votre éclat voir triompher le comte
Et mourir sans vangeance ou vivre dans la honte
Comte , soit de mon prince à present gouverneur
Ce haut rang n'admet point un homme sans honneur
Et par ton jaloux orgueuil en cet affront insigne
Malgré le choix du roi m'en a su rendre indigne
Ô toi de mes explois glorieux instrument
Mais d'un fer tout de glace unitile ornement
Fer jadis tant à craindre et qui dans cette offence
M'a servi de parade et non de défense
Va quitte desormais le dernier des humains
Et passe pour me vanger en de meilleures mains.


Pierre Corneil dans le Cid.
fantastique pièce de théâtre que je conseille à tous les fans
de poèsie. je la connais par coeur celle -ci.

Maman Valentine

Mardi, 23 Février 2010, 11:21

Voici venu le jour
Le jour où l'on célèbre l'amour
Valentin et Valentine s'avouent tout
Leurs rêves, leurs folies, leurs atouts
On sort les roses les plus belles
On allume les grandes chandelles
Aujourd'hui il veut tout préciser
Qu'il est fidèle à cette beauté cristalisée
Et que Dieu et tous les saints sachent aujourd'hui
Que Parmis toutes les femmes
Il n'aime qu'une femme qu'il acclame

Cependant, pour moi c'est la routine
La sollitude reste ma Valentine
Mon coeur ignore et s'ignore
Ma chaire me dévore
Alors, il y en a une à qui je veux dire
Je t'envie quelquefois
Je t'enveux souvent
Mais je te veux aujourd'hui et toujours
Car je t'aime d'amour,
Maman.

Trahison

Samedi, 20 Février 2010 23:23

Un jour fait naitre l'amour
Un enflammé devient sourd
S'il n'est aveugle par grâce
C'est bien son idéal à sa face
Et si se taire rejoint ses totems
C'est juste pour jaccasser je t'aime.
Aimer, c'est souffrir des sens
Seul le temps peut nous en faire délivrance.
Chance! L'aimée qui aime vraiment
Pourtant, et cela bien souvent
L'aimée interressée et sans coeur
Offre un mirage de bonheur.
Et quand après mille pas
Il n'ya plus de pas
Entre l'amour et la haine, il n'ya qu'un pas.



Puis l'amour s'éteint un jour
Sans retour, sans recours
Les attachés se détachent
L'enflammé de son ciel fait son crash.
Et quand un passé eut été idyllique
Quel coeur ne serait pas nostalgique?

Soudain guerrit l'enflammé
Mais un froid regret est entamé
Son corps brûle de frustration
Son coeur et son âme d'humiliation
Mordu de ces ingrats aiguillons
Le suicide est parfois la belle solution

Mais attention Il est là
Il est écrit qu'à la fin il jugera.

Coup de Foudre

Samedi, 20 Février 2010 13:38

Un regard souriant, un regard inquiet,
Des coeurs qui disent silencieusement la même chose.
Quel instant de bonheur! Ou debut de douleur,
Peu importe l'avenir , peu importe le passé
C'est l'instant qui compte, des instants qui enivrent,
Des regards qui aveuglent.
Ici on ne se choisi pas, cela ne se calcule pas,
L'homme la femme , qui fera le premier pas.
Enfin de compte, personne,
Chacun y met du sien.
Un sourire, un visage troublé,
Un regard trop fixe ou vite detourné,
C'est l'amour d'un jour
Et peut être de toujours.
Ici, on ne se connait pas
Car on ne s'est vu qu' une fois
Et déjà ...
Ici, il n'ya pas de non que de oui;
Pouvoir se parler, devoir se toucher et s'embrasser
C'est que combler ses desirs dirait-on
Or c'est peut être un bel avenir pour nous.
Nous, on se connait mais on ne s'est où
Nous on a envie de tout
Car on est fous.

Le Miraculé

Samedi, 20 Février 2010 00:23

À l'heure de mon aubaine
Parmis petits rois, petites reines
Où l'horizon me souriait,
Le diable lui, me torpillait.
Il sait séduire, il sait ruiner
Et ce n'est que chez moi qu'il a fouiné.
Moi qui ne tari d'idées aimables
Projeté en un nabab affable
L'imparable inimaginable survenu
Ni le ciel , ni la terre ne pu
M'accorder la grâce escomptée.
Pitié pitié.
À l'heure de l'anathème
Une voix celeste m'a di "je t'aime"
Un miracle retenti soudain
Un immense sourire tua le vieux dédain
J'eu un nouveau né ce soir
Ce fut un nouvel espoir
Ha les cieux!
Ma foi serait elle aussi vascillante que les feux?
Dieu pardonna l'enfant
Qui se croyait libre et pourtant...

Qui?

Vendredi, 19 Février 2010, 11:40

Qui me comprendra?
Qui? ces mysterieuses années,
ces pertes d'infortune sacrée,qui me delivera?
Je n'ai rien eu de ces miettes,
Trop precieuses pour faire la fête.
Je n'ai point voulu ma mésaventure,
Qui diable me ronge et me torture ?
j'ai loué le ciel de mon coeur,A t'il entendu mes pleures?Jj'ai imploré la vierge de mon âme,
Mais que de larmes, qui me blâme?
Ma misère au milieu de l'opulence,
Puenteur au coeur de la frangrance,
Duel qu'aime le diable.
Je ne suis que le prévisible misèrableSans affection de femme;
Malgre le père, je demeure infâme.
Cent mille luttes menées,
Aucune remportees.
Alors, de mendier a chercher vaillament
Le coeur de la terre, l'argent,
L'étau se ressert encore et encore
Plus rien plus rien... que la mort.
Tout m'abandonne sans recours aucun
Et voila mille, cent, dix, un ...Qui même me regrettera?
Mère envolée, père peiné, et les autres sont impuissants.Qui même me transportera
Si mon coeur et mon âme sont en sang.

Liberté

Vendredi, 19 Février 2010 08:23

Parler, c'est libérer
Parler, c'est se libérer
Quand la douleur déchire
notre foie, notre coeur et nos poummons,
Parler, est un remède.
Si parfois c'est en parlant que nous blessons,
parler pour se libérer neanmoins soigne les entorses,
les brûlures et fractures de l'âme.
Quand les larmes ont honte d'apparaitre
parler nous fait renaitre.
Mais á quelle oreille parler?

Femme Noir - Léopold Sédar Senghor

Jeudi, 18 Février 2010, 05:05

Femme nue, femme noire.
vêtue de ta couleur qui est vie et de ta forme qui est beauté.
j'ai grandi à ton ombre, la douceur de tes mains bandait mes yeux
et voila qu' au coeur de l'été et de midi je te découvre

femme nue, femme obscure
fruit mûre à la chaire ferme, sombre extase du vin noire
bouche qui fait lyrique ma bouche .
savane aux horizons pures, savane qui frémit aux caresses ferventes du vent d'est
tam tam sculpté tam tam tendu qui gronde sous les doigts du vainqueur
ta voix grave de contralto est le chant spiriruel de l'aimé.

Léopold Sédar Senghor

Haiti le coeur du monde

Samedi, 13 Février 2010, 11:36:
toutes mes pensées vont à l'endroit d'haiti. tout semblait paisible malgré le vent impitoyable de misère qui soufflait, tout le monde respirait l'oxygène d'un espoir ki tardait à venir et voilà! lorsqu'après mille pas il n'ya plus de pas entre la souffrance et la mort il n'ya qu'un pas . pourtant l'histoire d'haiti , c'est un peu notre histoire personnelle ; c'est pourquoi il nous appartient de faire un geste car qui donne à haiti s'enrichit lui même.